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Association pour la Promotion et la Responsabilisation des Acteurs de la Pêche Artisanale Maritime

Lettre ouverte à Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal

Lettre ouverte à Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal

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« Promesses » de licence de pêche industrielle : l’Etat prend-il ses responsabilités ?

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Communiqué de presse

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Les hommes et les femmes de la pêche artisanale sénégalaise ne sont pas des enfants

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Arrivée massive de bateaux chinois et turcs : menace sur les ressources et les communautés de pêche artisanale

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il y a 12 ans 31 789 Presse


Revue de presse de l’APS (Agence de Presse Sénégalaise) du 05 Août 2011

Photo : Aprapam

Risque d’impact des changements climatiques sur la crise de la pêche

Les changements climatiques peuvent avoir un fort impact sur la crise de la pêche qui sévit dans la sous-région ouest-africaine, a prévenu Cheikh Guèye, coordonnateur régional du Programme "adaptation des politiques de pêche aux changements climatiques en Afrique de l’Ouest (APPECCAO).

M. Guèye s’exprimait, vendredi à Saly, à l’ouverture d’une réunion sur la pêche et les changements climatiques qui se tient sous l’égide du Réseau sur les politiques de pêche en Afrique de l’Ouest (REPAO).

"Les changement climatiques vont venir impacter encore plus fortement sur cette crise généralisée de la pêche et avoir un impact considérable en terme de sécurité alimentaire sur les populations, de revenus pour les Etats et d’emplois et de multiples autres conséquences", a-t-il averti.

Selon lui, "si on ne fait pas attention, si on ne développe pas des actions d’adaptation tout de suite et maintenant, les changements climatiques peuvent tuer la pêche définitivement.

Ces changements constituent une menace encore plus importante que ce qu’on appelle aujourd’hui la surpêche, les accords de pêche et toute autre pratique décriée parce que considérés comme des menaces extrêmement graves pour la pêche".

Source : A.P.S.

Chavirement d’une pirogue : un jeune meurt au large de Joal-Fadiouth

Un jeune pêcheur âgé de 25 ans est décédé, jeudi matin au large de Joal-Fadiouth, après le chavirement de la pirogue à bord de laquelle il avait pris place, a appris le correspondant de l’APS de source sûre.

La victime était en compagnie de cinq autres pêcheurs, tous originaires du quartier Gokhou Mbathie de Saint-Louis. Leur embarcation aurait été heurtée par deux baleines qui se pourchassaient.

Sous la violence du choc, le jeune pêcheur aurait été précipité dans l’eau, avant d’être touché par le câble servant à l’amarrage de la pirogue.

Les pêcheurs ont constaté sa mort après que l’une des baleines a soulevé l’embarcation. La victime a été enterrée à Saint-Louis.

Source : A.P.S.

Les exportations vers l’UE ne sont pas menacées

Aucune menace ne pèse sur l’agrément accordé au Sénégal pour l’exportation de ses produits de pêche vers le marché européen, a déclaré vendredi le directeur des Pêches maritimes, Moustapha Thiam.

Le Groupement des armateurs et industriels de la pêche au Sénégal (GAIPES), a indiqué récemment que l’Union Européenne pourrait retirer l’agreement accordé au Sénégal en guise de protestation contre l’octroi anarchique de licences de pêche.

Selon le directeur des Pêches maritimes, la réalité est tout autre. Aucune menace n’a été reçue par le Sénégal en provenance de l’Union Européenne(UE), a dit Moustapha Thiam qui avait à ses côtés, entre autres responsables, le directeur de la surveillance et de la protection maritime, Matar Sambou.

Le Sénégal n’a reçu aucune injonction, aucun courrier, aucune correspondance (de l’UE) faisant part d’une éventuelle menace sur les exportations de poisson, a insisté Moustapha Thiam.

A propos de la pêche aux pélagiques par les armateurs étrangers critiquée par le GAIPES, le directeur des pêches maritimes a indiqué que ces autorisations ont été accordées depuis janvier.

Ces autorisations de pêches, a-t-il dit, ont été délivrées à des navires pour pêcher dans les eaux sénégalaises et cela n’encombre pas le partenariat qui existe entre le Sénégal et l’UEBien que signées en janvier, ces accords ont commencé à être exécutés en mars, précise Moustapha Thiam, soulignant c’est la première fois que le Sénégal initie cette opération en autorisant les armateurs étrangers de pêcher cet espèce de poisson qui migre des côtes nord africaines jusqu’au Golf de Guinée.

Ce sont des espèces migratoires. L’Etat du Sénégal a jugé nécessaire de profiter de cette manne tout comme le font nos pays limitrophes, la Mauritanie par exemple (…) Ce n’est pas nécessaire d’en faire du bruit. Ceci pourrait déstabiliser l’économie du pays, a-t-il déploré.

Pour lui, il ne s’agit que de rumeurs prononcées à l’encontre du ministre de l’Economie maritime. Le Sénégal a un système fiable pour mener des accords avec des navires pour pêcher dans nos eaux.

L’UE a effectué deux missions Sénégal depuis le mois d’avril et a accordé un satisfecit au Sénégal, a dit Moustapha Thiam.

Le Sénégal est un pays organisé. Il y est difficile d’avoir un accès aux ressources halieutiques. Le Code de la pêche a balisé les moyens d’accès à ces ressources (…) avec une commission consultative d’attribution des licences composée de l’administration, des chercheurs et des professionnels, a-t-il dit.

L’agrément accordé au Sénégal pour l’exportation de ses produits de pêche vers le marché commun date de 1996. Il est évalué tous les 3 ans.

Source : A.P.S.

Ressources pélagiques : les autorisations de pêche ont rapporté 850 millions

Les autorisations de pêche aux pélagiques accordées aux armateurs étrangers ont rapporté 850 millions de francs CFA au Sénégal entre mars et juin, a annoncé vendredi en conférence de presse, le directeur des Pêches maritimes, Moustapha Thiam.

Le pélagique ou sardinelle est une espèce qui migre des côtés nord-africaines jusqu’au Golf de Guinée.

En trois mois, 52 mille tonnes de poisson ont été pêchées dans les zones nord et sud du pays sur un total sous-régional estimé à 1,5 millions de tonnes, a expliqué Moustapha Thiam.

Selon lui, ces accords ont été signés en janvier, mais ont commencé à être exécutés au début de mois mars. Les autorisations ont été accordées à 12 navires de capacité variable, a précisé le directeur pêches maritimes.

C’est une bonne affaire pour le Sénégal, selon Moustapha Thiam. C’est la première fois que le (pays) initie cette opération (…) Cette opération a été bénéfique , car elle a contribué à l’amélioration de la balance commerciale, s’est-il encore réjoui.

Source : A.P.S.

Saint-Louis : les pêcheurs disparus sont toujours recherchés

Les recherches se poursuivent pour retrouver 12 pêcheurs saint-louisiens portés disparus depuis quelques jours, a annoncé, vendredi, le directeur de la surveillance et de la protection maritime.

Une patrouille sénégalaise est partie à la recherche des pêcheurs, a dit Matar Sambou en marge d’une conférence de presse. Selui lui, un avion français participe aux opérations de recherche.

Source : A.P.S.